Laissez faire ne signifie pas : laissez agir des forces mécaniques sans âme. Il signifie : permettez à chaque individu de choisir comment il veut coopérer dans la division sociale du travail ; permettez aux consommateurs de déterminer ce que les entrepreneurs doivent produire.
Ludwig Von Mises (1881-1973) Economiste autrichien, puis américain
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J’ai surement mal compris cette note, mais de mon point de vue,libèrté ou pas,la force soustendant les activités, sont avant tout èsclaves du fric ,dieu de toutes posséssions matèrielles.
Le sexe se paye, mais aussi la nourriture,donc le type commun veut du fric pour acheter son pouvoir et sa domoniation sur un environement qui ne veut que le détruir .
C’est a mon avis, une des bases du schémat de la » société pèrvèrse »(sècte de l’humain ) ?
salut UN chouka,
je ne vois pas trop le rapport avec la citation…
Je te propose à l’avenir de ne pas mettre d’accents dans tes commentaires, ou alors au bon endroit, ce sera plus lisible ! :wink:
Sinon, le sexe ne se paye pas forcément, et je ne suis esclave ni du fric, ni d’autres choses.
Si tu penses que l’environnement ne cherche qu’à te détruire, c’est ton problème, mais je ne vis pas ma vie comme cela. désolé. Je ne sais pas ce qu’est la « société perverse » dont tu parles. D’une manière générale, le sens de ton propos m’est assez obscur… :???:
à bientà´t quand même
Salut Lomig,
tu te souviens que je t’avais parlé d’un texte très intéressant intitulé la micropolitique, que tu n’avais pas pu télécharger chez boizard.
J’ai ce texte (enfin, ce livre) je peux essayer de te le transmettre si tu me communique ton adresse.
La mienne c’est [email protected]
A bientà´t !
Salut Pascal,
merci pour ta proposition, je suis évidemment preneur.
Par contre, je supprime ton adresse mail de ton commentaire (je l’ai déjà puisque tu dois renseigner ce champ pour poster un commentaire !).
à bientà´t, et merci à toi !
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