Étiquette : Islamisation

  • Identité française

    Identité française

    Tournant ?

    Le discours d’Emmanuel Macron sur le séparatisme a marqué un tournant pour notre pays. Un tournant pourquoi ? Parce qu’enfin, le constat est à  peu près posé, du problème posé par l’islam dans notre pays. Je n’y reviens pas : progression de l’islam radical, infiltration des islamistes dans les services de l’Etat, communauté musulmane pressurisée par les plus radicaux. J’en ai parlé là , avec plein de liens vers les sources, rapports, etc… : Etat de guerre.

    Paroles, paroles

    Le problème, c’est que ce constat a déjà  été fait il y a longtemps. Il est vrai pas aussi clairement de manière officielle par un Président de la République. Mais si le problème était, aux yeux du gouvernement, aussi crucial que le disent les mots de ce discours, il aurait du être la priorité dès l’élection. Pourquoi pas plus tôt ? J’ai la faiblesse de penser que les politiciens sont avant tout des machines à  gagner des élections, et je vois dans ce discours, juste après celui sur la France, comme une entrée en campagne de Macron. J’en ai déjà  entendu des beaux discours (sincèrement). Je n’ai pas souvent vu les actes suivre.

    Le problème identitaire de la gauche

    Dans le discours, et c’est la cause de ma déception, on retrouve tous les points aveugles de la pensée de la gauche depuis longtemps. Le premier, très bien décrit dans l’article de H16, est de ne pas voir qu’un Etat dilué sur tous les sujets, faibles, est une cause de grand désordre par non application des Lois. Le blogueur libéral, comme souvent les libéraux, sous-estime totalement le problème intrinsèque du multiculturalisme, de l’immigration, et de l’absence de politique d’assimilation.
    Les mots d’intégration et d’assimilation sont absents du discours, ce qui montre que Macron, dans sa manière d’aborder le sujet, ne fait aucun lien entre séparatisme islamique, islam et immigration. Avant de vouloir réformer l’islam il faut commencer par fermer nos frontières à  l’immigration extra-occidentale.
    Comme le dit dans son excellente analyse Gilles-William Goldnadel :
    Symboliquement au moins, il a le mérite d’exister et de poser enfin un diagnostic juste sur une maladie jusqu’à  présent dissimulée. C’est déjà  cela, même si ce n’est que cela.(…) La principale, l’impardonnable [lacune], celle qui fait que ce plan est géométriquement biaisé, est de n’avoir pas dit un mot sur la nécessité existentielle de freiner l’immigration massive et illégale en train de détruire l’équilibre français. C’est cette invasion sans fin par une population, principalement islamique, qui empêche une bonne intégration et renforce ce séparatisme enfin reconnu comme maladie mortelle.

    Pour comprendre cela, il faut parler d’identité culturelle et civilisationnelle. Pour parler d’identité, il faut avoir en tête des modèles mentaux que l’on appelle Civilisations et Cultures. Notre pensée s’est tellement appauvrie, sous la pression du politiquement correct et de la non-discrimination, que ne nous sommes plus capables, collectivement, de comprendre que la civilisation islamique n’est pas une civilisation occidentale avec une religion différente. L’islam n’est pas qu’une religion. Il faut lire Levi-Strauss, Huntington, Heinich et Nemo. Sur un certain nombre de points majeurs, la civilisation islamique est incompatible avec la civilisation occidentale (liberté de conscience, droits humains universels, statut des femmes, pluralisme critique, etc…).
    Je m’insurge contre l’abus de langage par lequel, de plus en plus, on en vient à  confondre le racisme et des attitudes normales, légitimes même, en tout cas inévitables. Le racisme est une doctrine qui prétend voir dans les caractères intellectuels et moraux attribués à  un ensemble d’individus l’effet nécessaire d’un commun patrimoine génétique. On ne saurait ranger sous la même rubrique, ou imputer automatiquement au même préjugé l’attitude d’individus ou de groupes que leur fidélité à  certaines valeurs rend partiellement ou totalement insensibles à  d’autres valeurs. Il n’est nullement coupable de placer une manière de vivre et de la penser au-dessus de toutes les autres et d’éprouver peu d’attirance envers tels ou tels dont le genre de vie, respectable en lui-même, s’éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché. Cette incommunicabilité relative peut même représenter le prix à  payer pour que les systèmes de valeurs de chaque famille spirituelle ou de chaque communauté se conservent, et trouvent dans leur propre fonds les ressources nécessaires à  leur renouvellement. Si comme je l’ai écrit ailleurs, il existe entre les sociétés humaines un certain optimum de diversité au-delà  duquel elles ne sauraient aller, mais en dessous duquel elles ne peuvent non plus descendre sans danger, on doit reconnaître que cette diversité résulte pour une grande part du désir de chaque culture de s’opposer à  celles qui l’environnent, de se distinguer d’elles, en un mot d’être soi : elles ne s’ignorent pas, s’empruntent à  l’occasion, mais pour ne pas périr, il faut que, sous d’autres rapports persiste entre elles une certaine imperméabilité.
    Claude Levi-strauss

    En France, on parle français

    Un point qui symbolise, en mal, tout cela, c’est l’apprentissage de l’arabe à  l’école. François-Xavier Bellamy en a dit ce qu’il fallait. Renvoyer des enfants à  l’apprentissage c’est les désigner comme non-français. Les assigner à  résidence civilisationnelle islamique. Quel terrible aveu, dans un discours qui se veut lutter contre le séparatisme. L’assimilation doit être obligatoire. L’apprentissage (et la maîtrise) du français en fait partie. Assimiler les nouveaux arrivants, leur transmettre notre culture, notre langue, notre histoire afin qu’ils puissent se les approprier. Nous leur donnons en partage, et c’est le seul et le meilleur accueil que l’on puisse faire. Le reste, c’est du discours multiculturaliste et politiquement correct. Ce qu’au final, je crois, est le discours de Macron. Un habile positionnement sur un thème crucial, en disant des choses justes, mais en même temps en caressant la gauche dans le sens de ses vieux poils faussement universalistes (relativiste en fait). Un discours de campagne. Laissons le bénéfice du doute sur les actions qui suivront : pour les raisons expliquées ci-dessus, j’ai peu d’espoir.
    L’image qui illustre cet article, montrant Napoléon, a été choisi pour l’action de celui-ci sur le judaïsme à  l’époque (1806) en provoquant une sorte de grand Sanhédrin. C’est le niveau d’action nécessaire pour mettre sous pression les responsables religieux de l’islam.

  • Hygiène des rues

    Hygiène des rues

    Nettoyer les rues

    Je suis souvent choqué, presque quotidiennement, par l’état dans lequel nous acceptons, collectivement, de laisser les rues. Les rues à  certains endroits sont sales, à  d’autres remplies de mendiants, ou de familles de migrants illégaux. Les rues sont par ailleurs, dans certains quartiers, laissés aux mains des racailles islamisées. Et parfois, temporairement, aux mains des gauchistes violents. Toutes ces situations sont inacceptables, moralement et juridiquement. Et pourtant nous nous y sommes presque habitués. Il faut nettoyer les rues. Je ne comprends pas pourquoi cette mesure populiste, ou de bon sens, consistant à  « nettoyer les rues » n’est pas mise en avant par les différents candidats et partis politiques. Nettoyons les rues de la misère qui s’y amoncelle. Rendons l’espace publique à  son usage habituel : un lieu collectif, impliquant respect des autres, politesse, propreté, application stricte des règles communes. Désolé de faire mon Suisse.

    Il ne s’agit pas de kà¤rcher, les humains n’étant pas des moisissures, ni des scories que l’on peut balayer avec un jet d’eau. Non : il s’agit de dignité, et de solidarité. Les propos de Sarkozy, à  l’époque, n’étaient pas choquants : c’est de ne pas les avoir mis en oeuvre qui a choqué les français.

    La rue, l’espace public, sont par définition du domaine collectif. Il est donc de notre responsabilité collective de changer les choses, c’est-à -dire que cela est dans le champ du politique (sauf à  revenir à  des « milices » de quartier qui seraient en charge de gérer une rue, ou un bloc de maisons). Il est anormal de ”laisser » des gens ”vivre » dans la rue. Au-delà  des émotions, et de la compassion, que chacun peut ressentir devant un tel spectacle, il y a là  un phénomène que nous devons rejeter, de toutes nos forces, à  titre individuel comme de manière collective.

    Miroir d’une société malade

    Cet espace public est aussi un miroir de ce qu’est notre société. Ce miroir qui est nous est tendu renvoie une image terrible. Il nous renvoie à  notre propre incapacité à  traiter le problème, il nous donne une image particulièrement sordide (qu’est ce qu’une société où des enfants trainent dans la rue à  mendier au lieu d’être à  l’école ?). Et il nous montre l’impéritie crasse de nos dirigeants à  simplement faire appliquer la Loi (allons-nous nous faire croire que nous ne savons pas loger, et forcer l’intégration de ce mélange de SDF et de migrants plus ou moins légaux ?). Il faut refuser l’image de ce miroir, et la réalité qu’il montre. Les français sont solidaires, le niveau de prélèvement obligatoire consenti suffit presque à  le montrer. Personne ne se satisfait par ailleurs de cette situation : ni les mendiants, ni les citoyens, ni les bénévoles, ni les responsables d’associations, ni les responsables politiques.

    Pas de traitement de faveur pour les fragiles ?

    Mais le politiquement correct est ainsi fait : on ne doit forcer personne, surtout pas des catégories fragiles. Ce serait discriminant ? Soutenons l’inverse : il faut aider les plus démunis, même malgré eux. Il faut réintégrer de force ces enfants des rues dans des écoles, apprendre à  parler à  leur parents (ou les foutre en taule), forcer les sans-emplois et les laissés-pour-compte à  être pris en charge pour se re-socialiser. Coûte que coûte. Ce n’est pas une question de moyens, ni de capacité, c’est une question de dignité et de volonté politique. Je suis convaincu qu’un homme politique qui proposerait de nettoyer les rues marquerait des points auprès de nombreux citoyens. Parce que les français sont solidaires, amoureux de la dignité des personnes, et fier de leur pays, qu’ils ne supportent plus de le voir peu à  peu se transformer en pays du tiers monde.

    Vivons heureux, vivons confinés ?

    J’ai une petite théorie sur le confinement, qui permet d’expliquer pourquoi un peuple aussi rebelle que les français se sont si facilement laissé enfermer chez eux. Je crois que cela a permis a beaucoup de monde de ne plus « voir » cette affreux chemin que nous avons pris, en n’allant plus dans la rue. Les médias tournant en boucle sur le COVID, ça a permis de ne pas trop voir les assauts de « migrants » contre la Grèce, la situation pré-insurrectionnelle dans les « banlieues ». Il est temps de retourner dans la rue, et d’accepter cette réalité que l’on ne veut plus nommer, ou voir. Cela nous empêche de nous attaquer aux problèmes.

    Il faut toujours dire ce que l’on voit ; surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit.Charles Péguy

  • Etat de guerre ?

    Etat de guerre ?

    Un meurtre au sein des renseignements, c’est grave. Il est temps de prendre la mesure du problème auquel la France est confrontée (l’islamisation), et de sortir de l’inhibition de l’action. Nous sommes – devrions – être en état de guerre, et utiliser les outils adéquats pour lutter idéologiquement et sur le terrain.

    La réalité de l’islamisation

    La vie médiatique et politique est ainsi faite qu’elle se concentre souvent sur le temps court, et se focalise d’avantage sur les histoires de femmes voilées au Conseil Régional, plutôt que sur les faits récents d’un attentat commis au sein de la DRPP. Cet attentat est pourtant infiniment plus grave, et important pour ce qu’il dit de la situation du pays. De fait, il est maintenant de notoriété publique que l’infiltration des islamistes a pris une ampleur sans précédent. En témoigne la mission d’information sur les services publics face à  la radicalisation dont le rapport est accessible à  tous (Rapport Diard & Poulliat).

    En entendant Alain Bauer, Zineb El-Rhazoui (menacée de mort par les islamistes), et le juge Bruguière débattre de tout cela, j’ai eu le sentiment que l’on se perd un peu dans les – salutaires et louables – précautions propres aux états de droit. Cela sent la technicité, le sens de la précision, l’esprit de justesse. Et cela donne l’impression d’une forme d’impuissance. J’ai pourtant la conviction qu’il faut simplement comprendre que les outils sont là  : il suffit de prendre la mesure de ce que signifie être en guerre. En effet, la question n’est plus là  : ce sont nos ennemis, en nous menaçant, qui choisissent pour nous. Nous sommes en guerre parce que nous sommes attaqués, pas parce que nous aimerions la guerre.

    Etat de guerre

    Il existe un certain nombre de dispositions dans notre Constitution (l’article 16 précise les mesures exceptionnelles lorsque l’on est en état de guerre), ou dans notre droit (état de siège et état d’urgence).

    La difficulté est connue : il s’agit de positionner le curseur entre deux risques. Celui de stigmatiser l’ensemble des musulmans comme de potentiels terroristes, et celui d’être perméables aux combattants infiltrés de l’islam politique. Le curseur est clairement, pour le moment, beaucoup trop près de la naïveté que de la dureté excessive. Combien d’attentats encore, avant de prendre la mesure du réel ?

    Il ne s’agit pas d’un complot. Un complot, c’est secret. Il s’agit d’un projet à  dimension internationale. Une action coordonnée et officielle de l’ensemble des pays musulmans : Stratégie de l’action islamique culturelle à  l’extérieur du monde islamique. Le financement d’associations fait clairement partie de ce projet, pour pouvoir renforcer l’identité musulmane – notamment des enfants – vivant en Occident. Je n’ai pas à  juger de la légitimité de ce projet. Je sais seulement qu’il contrevient à  la conservation de l’identité française.

    Alexandre Del valle le dit très bien : il y a les coupeurs de têtes (les terroristes), et les coupeurs de langues (tous ceux qui braient à  l’islamophobie quand la moindre critique de l’idéologie et du mode de vie islamiques est avancée). Il faut continuer de dire les choses. Il faut déclarer l’état de guerre. Nommer l’ennemi : l’islam politique radical. Pas les musulmans, qui doivent être dans ce combat avec tous les amoureux de la liberté. Des mesures fortes doivent être prises. Des mesures de lutte idéologiques d’une part, et pratiques d’autre part. Il faut lutter, dans le monde des idées, et sur le terrain. Sortir du politiquement correct.

    Lutte idéologique

    Comme toujours le combat des idées se joue beaucoup sur les mots. A titre personnel, je m’oppose aux pièges sémantiques/idéologiques suivants :

    • l’Islam n’est pas qu’une religion. Dans notre culture, le mot religion désigne depuis longtemps les aspects spirituels et rituels, sans la politique. Ce n’est pas le cas avec l’Islam : l’Islam est à  la fois religieux, politique et juridique
    • il faut réaffirmer notre culture et notre civilisation occidentale. Il faut sortir du relativisme consistant à  faire croire que toutes les cultures se valent, ce qui conduit au multiculturalisme. Affirmer la valeur de sa culture n’est pas nier celle des autres, c’est rendre possible une forme de dialogue. Je suis attaché à  la liberté individuelle, à  la tolérance, à  l’égalité devant la Loi : rien de tout cela n’existe vraiment dans les pays non-occidentaux. Cela ne permet probablement pas de les juger pour cela (jugement nécessairement ethnocentrique), mais j’ai bien le droit d’affirmer une préférence. A mes yeux, la culture occidentale vaut mieux que les autres. Ce n’est pas parce que les droits humains sont bafoués dans certains pays, ou que le droit positif de ces pays est en contradiction avec le droit naturel, qu’il faut s’en accommoder sur le plan des idées. Ces cultures sont dans le faux, éthiquement. Il convient de dénoncer ces atteintes aux droits humains. Ce n’est pas faire preuve d’ethnocentrisme que de dire que les droits des femmes en terre d’Islam sont bafoués, c’est rappeler que les humains en terre d’islam sont nos frères et nos soeurs en humanité, et qu’à  ce titre nous les créditons des mêmes droits naturels que nous.
    • Je refuse de me laisser piéger par l’expression « extrême droite » qui sert simplement aux tenants de l’idéologie diversitaire pour tenter de museler leurs adversaires. Le RN, ou ceux qui se retrouvent affublés de cette étiquette n’ont en général rien à  voir avec l’imaginaire de violence, de racisme, d’anti-parlementarisme, ou de néo-nazisme que le mot véhicule.

    Lutte armée

    Il faut bien sûr, en parallèle, lutter contre les combattants. Voici une liste non exhaustive de ce qu’il faudrait au minimum faire pour lutter efficacement contre l’islamisation (un certain nombre de ces actions sont probablement en cours) :

    • rétablir l’ordre dans les banlieues islamisées et vivant du trafic de drogue
    • interdiction des financements étrangers des mosquées ; menace de rupture des relations commerciales avec les pays ayant signé le fameux plan d’islamisation
    • déclarer les Frères musulmans comme organisation terroriste (c’est déjà  le cas de la Russie, des émirats-arabes, de l’arabie saoudite et de l’égypte
    • fermer toutes les mosquées salafistes/radicales
    • expulser les étrangers fichés S, ou connus pour leur appartenance à  l’islam radical
    • reprendre la main sur le monde associatif (supprimer les associations qui ne sont que des chevaux de troie de l’islam, nettoyer le monde du sport, etc..)
    • surveiller toutes les mosquées, et forcer l’utilisation du français dans les lieux de cultes
    • prohiber les tenues islamistes dans tout l’espace public (arrêtons de faire les autruches et de croire que le voile n’est pas un étendard politique)
    • pénaliser toutes formes d’accointances avec la mouvance islamiste radicale (sites, associations, réseaux, mosquées). Cela s’appelle l’intelligence avec l’ennemi
    • stopper l’immigration depuis les pays musulmans
    • refaire de l’assimilation le seul mode d’accession à  la nationalité, et faire de l’acquisition de la nationalité la fin d’un processus, non son point de départ. Malika Sorel a tout dit dans ses livres

    Ces actions demanderont un courage politique hors du commun, dont le seul moteur doit être la préservation de la France : de son mode de vie, de ses institutions, de sa paix, de l’unité de son peuple.

    Je veux croire que la très grande majorité des français, musulmans comme non musulmans, soutiendra ces actions.

  • L'Islam et sa visibilité en France

    J’ai vu ça, comme souvent, sur l’excellent site Bivouac-ID. Il s’agit d’un débat sur l’Islam en France, avec des intervenants de qualité, je trouve.
    Les invités de Ahmed el-Keiy sur France à” jeudi dernier étaient les suivants :

    • Joachim Véliocas, animateur du site Islamisation
    • André Bercoff, journaliste et écrivain franco-libanais, et qui tient un blog
    • Ghaleb Bencheikh, président de la Conférence mondiale des religions pour la paix, animateur de l’émission Islam du dimanche matin sur France 2 et frère de l’ancien grand mufti de la mosquée de Marseille
    • Bernard Godard, ancien fonctionnaire des RG, chargé de mission au bureau des cultes au sein du ministère de l’Intérieur, et l’un des architectes du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman)

    Place au débat !