CatĂ©gorie : đ§ RĂ©flexions
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Soyons superficiels
Jâai repensĂ© lâautre jour Ă Â une idĂ©e que jâavais eu, alors que jâĂ©tais en licence. Il y a quinze ans. Je mâen rappelle parce que je lâavais exposĂ©e Ă Â un copain, au comptoir du cafĂ© en face de la fac Jussieu, et quâil avait trouvĂ© cette idĂ©e sĂ©duisante. Jâen avais Ă©tĂ© gratifiĂ© ; et duâŠ
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L’importance du Presque
L’absolu n’existe pas. L’ĂȘtre humain est – par nature – fini, limitĂ©. MalgrĂ© cette finitude, l’ĂȘtre humain aspire Ă Â la perfection, et en a en tout cas une idĂ©e. Selon moi, la perfection ne nous est accessible que par la sensation : la perfection, certes n’existe pas, mais on peut Ă©prouver une sentiment de perfection.âŠ
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La mort est partout
DĂšs le dĂ©but, j’ai Ă©tĂ© captivĂ© par le livre de Luc Ferry, « Apprendre Ă Â vivre« . Il s’agit de philosophie, un peu vulgarisĂ©e, mais au niveau d’implication oĂč je l’attends : de la philosophie non pas thĂ©orique et abstraite, mais de la philosophie Ă Â vivre, qui est une rĂ©flexion sur la vie, et qui a pourâŠ
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Source d’Ă©tonnement
Le formidable livre de Jeanne Hersch « L’étonnement philosophique » repose sur une thèse forte et séduisante : on peut se promener dans l’histoire de la philosophie sans forcément passer en revue toutes les thèses, mais plutôt en revenant au sentiment d’étonnement. L’étonnement radical comme source de la philosophie. Passionnant. L’étonnement serait à la philosophie ce queâŠ
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Aggrégateur humain
La premiĂšre fois que je suis allĂ© Ă Â la RĂ©publique des blogs (une rĂ©union de blogueurs politiques qui se tient chaque mois dans un bar), j’ai rencontrĂ© un des blogueurs « historiques », donc influent, Laurent Gloaguen. Il m’avait confiĂ© qu’il Ă©tait un aggrĂ©gateur humain. J’avais pris sa remarque comme une boutade pour souligner l’importance de lireâŠ
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Pour ĂȘtre Ă Â l’heure, soyez en avance
Avez-vous remarquĂ© que certaines personnes ne savent pas ĂȘtre Ă Â l’heure ? J’en ai encore eu un exemple rĂ©cemment. J’ai eu la chance de faire partie d’un groupe de rĂ©flexion dans mon entreprise, et nous devions prĂ©senter les rĂ©sultats de nos travaux en comitĂ© de direction. Devant toute une floppĂ©e de directeurs. C’est le genreâŠ