CatĂ©gorie : 💬 Citations

  • Citation #72

    Et aprĂšs tout, qu’est-ce que la Concurrence? Est-ce une chose existant et agissant par elle-mĂȘme comme le cholĂ©ra? Non, Concurrence, ce n’est qu’absence d’oppression. En ce qui m’intĂ©resse, je veux choisir pour moi-mĂȘme et ne veux pas qu’un autre choisisse pour moi, malgrĂ© moi; voilà  tout. Et si quelqu’un prĂ©tend substituer son jugement au mien dans les affaires qui me regardent, je demanderai de substituer le mien au sien dans les transactions qui le concernent. OĂč est la garantie que les choses en iront mieux? Il est Ă©vident que la Concurrence, c’est la libertĂ©. DĂ©truire la libertĂ© d’agir, c’est dĂ©truire la possibilitĂ© et par suite la facultĂ© de choisir, de juger, de comparer; c’est tuer l’intelligence, c’est tuer la pensĂ©e, c’est tuer l’homme. De quelque cotĂ© qu’ils partent, voilà  oĂč aboutissent toujours les rĂ©formateurs modernes; pour amĂ©liorer la sociĂ©tĂ©, ils commencent par anĂ©antir l’individu, sous prĂ©texte que tous les maux en viennent, comme si tous les biens n’en venaient pas aussi.
    Frédéric Bastiat

  • Citation #71

    LibĂ©ralisme et intervention de l’État ne sont pas contradictoires ; aucune libertĂ© n’est possible si l’État ne la garantit pas.

    Karl Popper

  • Citation #70

    Jules RomainsLes esprits sains discutent des actes, les esprits moyens discutent des événements, les esprits médiocres discutent des personnes.

    Jules Romains

  • Citation #69

    TurgotL’intĂ©rĂȘt particulier abandonnĂ© à  lui-mĂȘme produira plus sĂ»rement le bien gĂ©nĂ©ral que les opĂ©rations du gouvernement, toujours fautives et nĂ©cessairement dirigĂ©es par une thĂ©orie vague et incertaine.

    Turgot

  • Citation #68

    F. BastiatN’attendre de l’État que deux choses : libertĂ©, sĂ©curitĂ©. Et bien voir que l’on ne saurait, au risque de les perdre toutes deux, en demander une troisiĂšme.

    Frédéric Bastiat

  • Citation #67

    Ludwig Von MisesCe qui produit le profit d’un homme dans le cours des affaires dans une sociĂ©tĂ© libre de marchĂ©, ce n’est pas la misĂšre et la dĂ©tresse de son concitoyen, mais le fait qu’il allĂšge ou enlĂšve complĂštement ce qui cause la sensation de gĂȘne de son concitoyen. Ce qui fait souffrir le malade, c’est la peste, pas le mĂ©decin qui traite la maladie. Le gain du docteur n’est pas le rĂ©sultat des Ă©pidĂ©mies, mais de l’aide qu’il apporte à  ceux qui sont affectĂ©s.

    Ludwig Von Mises