Étiquette : Mensonge

  • Toucher le fond ?

    Toucher le fond ?

    Je suis en ce moment d’humeur sombre. Je pensais que l’expression « toucher le fond » portait en elle une forme d’espoir, puisqu’arrivés au fond, on peut s’appuyer dessus pour rebondir, repartir vers le haut. Ce que les dirigeants européens et français nous démontrent depuis des décennies, c’est qu’il n’y a pas de fond. Rien n’y fait : les chocs répétés avec le réel ne les fait pas bouger d’un iota. Ils continuent avec arrogance à étaler leur incompétence, leur idéologie, et leur totale absence d’intérêt pour les peuples de leurs différents pays. A persévérer dans l’erreur.

    Errare humanum est. Perseverare diabolicum.

    Certes, on peut se réconforter en se disant que les peuples ont élus dans plusieurs pays européens des dirigeants un peu moins pervers, et que le mouvement enclenché aux USA va avoir des conséquences positives sur les lignes en Europe.
    Mais force est de constater que plus les US montrent le chemin et plus les dirigeants européens s’enfoncent. Il y a là un spectacle particulièrement difficile à supporter. Macron continue à faire de pitoyables représentations théâtrales, pendant que son sinistre de l’économie, l’affreux communiste Lombard, explique qu’il faut continuer à saborder notre économie, voler l’épargne des français, et que nous allons sauver la planète. Rien que d’écrire cela, et j’en ai des frissons de dégoût : qu’avons-nous fait pour avoir à des postes ministériels de tels abrutis incultes ?
    Les médias mainstream comme on les appelle (mais que l’on devrait plutôt renommer les raconteurs d’histoires) continuent leur sordide jeu de désinformation systématique. L’excitation atteint son comble sur 3 minutes d’un échange avec Zelensky et Trump/Vance : qui est allé regarder l’échange en entier ? Est-ce vraiment le sujet principal pour les Européens par ailleurs : quel média est allé montrer et expliquer ce qui se passe en Roumanie (pour le coup, en Europe) ? Le refus de démocratie est à son comble, la tentation censoriale est plus que jamais présente parmi les élites paniquées, et rien ne semble indiquer que le peuple soit intéressé par ces sujets. Les indignations sélectives, pilotées par le pouvoir, sont de plus en plus incroyables (au sens propre du terme), et sont pourtant reprises en boucle. Orwell n’est pas loin du tout : « on empêche les élections de se tenir en Roumanie, c’est pour le bien de la démocratie », « on continue à pomper tout le fric qu’on peut sans jamais arrêter de dépenser, c’est pour la prospérité ». « on va tout faire pour continuer à alimenter la guerre avec la Russie, c’est pour la paix ». « l’immigration musulmane massive depuis quarante ans n’a aucun lien avec les violences en hausse en France ». Sincèrement ?
    Le sentiment d’une chute inarrêtable est permanent. Le RN est incapable de jouer un vrai rôle d’opposition : soumis à la gauche intellectuelle. Si vous avez sur vous un peu d’espoir, je suis preneur. Je n’ai plus beaucoup d’échantillons sur moi. Je songe sérieusement à ce qu’il faudrait de plus pour me décider à quitter ce si beau pays en train de sombrer, sans jamais toucher le fond. Quarante ans de socialisme auront-ils eu raison de nous ?

  • Travail de mémoire

    Travail de mémoire

    Une macro-étude vient d’être partagée par Nicolas Hulscher sur son compte X (il est épidémiologiste à la McCullough Fondation) : elle reprend les chiffres de 99 millions de personnes ayant reçu l’injection contre le COVID. Les chiffres sont sans appel :

    1. Risque accru jusqu’à 610 % de myocardite après une injection sur plateforme ARNm.
    2. Risque accru de 378 % d’encéphalomyélite aiguë disséminée après une injection d’ARNm.
    3. Risque accru de 323 % de thrombose veineuse cérébrale après une injection de vecteur viral.
    4. Risque accru de 249 % de syndrome de Guillain-Barré après une injection de vecteur viral.

    Je me demande pourquoi ces faits ne sont pas partagés et discutés dans les médias français, qui ont passé tant de temps à nous énumérer le nombre de morts du COVID, et à se faire les agents de la propagande gouvernementale. Ce décalage de traitement m’inspire plusieurs remarques, sur des plans différents.

    Médias véreux

    Ce n’est pas une nouvelle bien sûr, mais ce qui se passe depuis que la période COVID s’est terminée, dans les médias, est assez étonnant. Le sujet n’existe presque plus. Deux années complètes de folie administrative et sanitaire, de la censure avérée, des mensonges avérés, des invectives, des gens suspendus, des réputations jetées en pâture, des injections quasi-obligatoires d’un produit mal testé : et puis, plus rien. Le rôle de « chiens de garde du pouvoir » des médias est plus que jamais flagrant. Circulez, il n’y avait rien à voir, et sauf contraints et forcés, les médias vous diront qu’il n’y a toujours rien à voir.

    Difficile apprentissage

    Ce qui est difficile, c’est de sortir de la logique de bouc-émissaire, et réfléchir à ce qui s’est passé, et comment on pourrait éviter de refaire les mêmes erreurs. Collectivement qu’avons-nous appris ? Comment cela se traduit-il dans des règles différentes de fonctionnement ? Sans partager les faits, il n’est pas possible d’apprendre. Sans revenir, et c’est difficile, sur ce qui s’est passé, sur ce qu’on savait à quel moment, etc. il ne sera pas possible de progresser. Les confinements étaient idiots, le Covid n’était dangereux que pour certaines personnes à risque, les « vaccins » n’ont pas été testé dans les règles de l’art et ne protégeaient pas du tout. La quasi-obligation vaccinale était une hérésie sanitaire, philosophique et politique. Ce n’est pas parce que tout le monde ou presque devient fou en même temps, que c’est moins fou. Je n’arrive pas à voir comment ce travail pourrait avoir lieu, si certains n’ont pas le courage de reconnaître des torts, des mauvais choix (quelles qu’en soient les circonstances atténuantes). Faute avouée, à moitié pardonnée, dit le proverbe.

    Chemins personnels

    Pour finir, il me semble que la racine du problème est individuelle. Quelles qu’aient pu être nos positions, convictions, efforts d’information, pendant cette période, il est dur de faire son introspection. Par exemple, j’ai accepté que mes enfants soient vaccinés, alors même que je pensais qu’il n’y avait aucun bénéfice à le faire (et c’était même plus grave, il y a avait un risque de conséquences plus grave que la Covid. Je regrette cela ; j’étais probablement plus informé que la moyenne, et je n’ai pour autant fait les bons choix. Je comprends que certains préfèrent oublier volontairement cette période et passer à autre chose. Mais je trouve cela d’une grande tristesse : vivre sa vie en escamotant une partie du réel, de nos choix individuels et collectifs, n’est-ce pas une manière, déjà, d’accepter de vivre dans la « Matrix » de l’Etat ? Car en faisant cela, ce n’est pas seulement nos erreurs, nos choix, nos hésitations, nos disputes, que nous effaçons, mais aussi les responsabilités, à commencer par la nôtre. Qui peut prétendre être libre, sans être responsable ?

  • Les 5 méprises sur le climat

    Les 5 méprises sur le climat

    La plupart des gens ne se renseignent pas beaucoup, et d’une manière plus ou moins compréhensible, font confiance aux médias pour s’informer. Je pense donc qu’ils se méprennent souvent, car certains « experts » mentent, par contre. Voici donc quelques-unes des méprises courantes sur le sujet du climat, véhiculées par des médias peu rigoureux.
    Un grand merci au compte X @Elpis_R, car il a fait un remarquable travail de synthèse.

    Méprise sur la science

    Comme je l’avais rappelé ici, et comme on peut l’entendre souvent, la science n’est pas une affaire de consensus. La démarche scientifique consiste à formuler des énoncés sur le réel (affirmation, théories, modèles, etc.) et à les confronter à la réalité pour en tester la validité. Peu importe que X% de la communauté scientifique soit d’accord avec une affirmation : si le réel lui donne tort, elle est fausse. L’affirmation « tous les cygnes sont blancs » est une affirmation scientifique (il est possible d’imaginer une expérience de pensée ou réelle qui la réfute). Peu importe le nombre de personnes qui l’estime juste : la découverte d’un cygne noir suffit à l’invalider.

    Méprise sur les échelles

    Les humains en 2024 sont singulièrement peu humble quand il s’agit de considérer leur juste importance dans l’univers. Une grande ville dépasse déjà, dans l’espace et dans sa complexité, ce qu’un humain est capable de connaître : que dire alors de la Terre ? Ce que l’humanité produit de CO2 par an, n’est qu’une toute petit partie du CO2 atmosphérique (de l’ordre de 0,3%), qui n’est lui-même qu’une petite partie des gaz à effets de serre de l’atmosphère (notamment la vapeur d’eau, qui représente 10 fois la quantité de CO2). Vouloir faire croire qu’une inflexion plus ou moins marqué de ces émissions (jouant donc sur moins d’un dix millième en ordre de grandeur), est sincèrement complètement idiot.
    De même pour les augmentations prévues ou estimées du niveau des océans… les échelles à nouveau ont de quoi faire rire : les gens s’affolent (ou veulent affoler) avec des élévations de quelques millimètres ou centimètres, là où les hauteurs des océans ont évolué par le passé bien plus que cela (plusieurs mètres), et là où les grandes marées conduisent à des variations bien plus importantes. Problème d’échelle, à nouveau.

    Méprise sur la causalité

    Un principe utile dans les raisonnements – pas que scientifiques – est le principe de causalité. Il est prouvé (article 111. The temperature–CO2 climate connection:
    an epistemological reappraisal of ice-core messages, Pascal Richet
    , article 22) que le CO2 augmente après l’augmentation des températures, on se demande donc bien pourquoi l’augmentation du CO2 pourrait être la cause de l’augmentation de la T° ?

    Une conséquence des deux points précédents (le CO2 produit par les humains est négligeable dans l’effet de 2. What Humans Contribute to Atmospheric CO2: Comparison of Carbon Cycle Models with Observations, Herman Harde, Earth Sciencesserre global, et le CO2 varie surtout en conséquence des variations de T°) : les efforts fait par toutes les entreprises, sous le coup de la règlementation débile, pour mesurer et diminuer leur « bilan carbone » ne sert à rien (à part enrichir des consultants et Jancovici).

    Méprise sur les faits

    Avant même toutes ces discussions, il y a une méprise plus générale, induite par les termes (« dérèglement climatique ») : A quelle époque le climat a-t-il été réglé ? Tout personne de bonne constitution qui va voir les courbes de variation de T° et du climat sur la Terre sur le temps long constate que le climat a toujours fluctué, et souvent beaucoup plus vite qu’à notre époque. C’est un fait que le climat n’est pas « réglé », et ne l’a jamais été.
    Par ailleurs, il est pénible de voir tout le monde pleurer sur l’augmentation de CO2, car c’est une bonne pour la planète : le dioxyde de carbone favorise la végétation, et la vie sur Terre. Découvrez d’autres mensonges factuels ici : Climat : les 12 mensonges du GIEC.
    Un autre exemple, pour la route ? J’entends souvent parler de la pénurie d’eau à cause du réchauffement. Quelle foutaise : sur la planète bleue, où 71% de la surface couverte l’est par de l’eau, on nous explique que l’on va manquer d’eau ? Par quelle drôle de mécanisme cela serait-il possible ? Encore un fait totalement douteux. Il en est de même de l’augmentation des catastrophes climatiques (elles sont stables dans le temps merci @AssoClimatoReal).

    Méprise sur les intentions

    Toutes ces méprises ne sont possibles que parce qu’une partie des scientifiques, des médias et des politiciens, joue un jeu de propagande politique, et non d’information et de recherche de la vérité. Les activistes du climat ne se battent pas pour la Terre, ou le climat, mais pour asservir les autres et décider à leur place comment ils doivent vivre : décroissance, contrôle politique et social, censure. Ce sont des dictateurs. @JP_O l’a bien montré dans Greta a tué Einstein.
    Je reprends ce que j’ai déjà décrit ailleurs, ainsi que d’autres @FBoisard1533 :
    nous sommes devant une mythologie, une foi, dérangeante dans son rejet des faits, de la réalité, et dans ses racines misanthropiques. Ce qui est flagrant, rageant, c’est que ce mensonge organisé est devenu une sorte de dogme diffus, officiel, mortifère et proprement suicidaire. Est-ce un signe de plus d’une décadence générale, ou l’un de ses moteurs principaux ?

  • X contre Google

    X contre Google

    J’avais déjà évoqué ici les biais politique des outils de Google. Et en ce moment sur X, beaucoup de preuves affluent pour montrer que Google & Facebook déforment honteusement les résultats de leurs moteurs de recherche : mise en avant de Kamala Harris, difficulté à trouver la vidéo de la tentative d’assassinat de Trump. C’était une des premières choses qu’Elon Musk avait fait après le rachat de Twitter, devenu X depuis : virer les agences gouvernementales de sa plateforme. Il avait également confirmé les méthodes de censures qui avaient mises en place pendant la crise COVID (Twitter Files).
    Devant ces faits, il devient évident que X est une plateforme construite sur des règles éthiques solides, bien plus que les autres. Et que les Google et Facebook contribuent à ce règne du mensonge qui m’horripile tant. Plan d’action personnel (pas si simple à mettre en œuvre car cela change – beaucoup – les habitudes).

    1. plus un centime à Google : j’avais un petit abonnement Drive pour stocker des données, je vais les mettre ailleurs et résilier l’abonnement (Maj : ✔️)
    2. Trouver une alternative à Google search : si vous avez des pistes je suis preneur (maj : depuis hier soir j’utilise DuckduckGo; ça a l’air très bien ✔️)
    3. Basculer de mon mail Gmail à une autre boite mail (lié à mon domaine blomig.com)
    4. Faire circuler ces infos sur Google et Facebook pour que les gens en soient conscients : c’est l’objet de ce billet ✔️
    5. Ecraser mon compte Facebook (qui ne sert déjà plus à rien) Maj : compte désactivé ✔️
    6. Je l’avais déjà fait, mais abonnement payant à X pour soutenir le projet ✔️

    Qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà des outils de recherche autre que Google ? Sont-ils performants ?

  • Le règne du mensonge

    Le règne du mensonge

    On a beau tourner la tête, à droite, à gauche, en haut, en bas, c’est partout le règne du mensonge. Sur quelque sujet que ce soit, l’approche consistant simplement à vouloir commencer par les faits, la réalité, puis à élaborer, se heurte à toute une litanie de prêchi-prêcha à peine construits, à peine crédibles, et il faut toute la force de frappe d’une répétition médiatique continue, d’un matraquage de haute intensité pour l’imposer aux gens. Cette idéologisation permanente maintient la population dans un état d’enfance, en l’empêchant d’aller se confronter au réel.
    J’ai le sentiment parfois que certains de mes congénères ne pensent plus, ou n’osent plus le faire, et même dans le pire des cas pérorent, assènent, bouffis de fausses certitudes visant simplement à se regarder dans un miroir agréable à leurs yeux. Les plus fieffés utilisent ces narrations politiques pour se faire une place de choix, implacablement. Cyniquement. Immoralement. Le travail et la droiture morale devraient seuls permettre de s’honorer de quoi que ce soit. Le mensonge est aussi, je crois, le signe de notre époque où chacun veut aller vite. La vérité n’est pas toujours donnée, il faut travailler acquérir des connaissances. La vérité transcende, là où le mensonge avili.

    Les plus honnêtes d’entre nous, bien sûr, heureusement, et dont j’ai la prétention de faire partie, continuent à penser, mais en se taisant souvent, en baissant parfois la tête, toujours en serrant les dents. Pour qui aime la vérité, et sa quête, l’époque est difficile. Cela mine en partie la qualité des relations sociales : être obligés de mentir par omission aux gens que l’on apprécie humainement est un crève-cœur.

    On est obligé de regarder notre beau pays s’abimer, sans même, au moins, pouvoir le dire. Heureusement, il existe des proches, des amis, avec qui l’on peut continuer à au moins ne pas se mentir. Il faut, et je crois que c’est le premier combat, retrouver le goût de la vérité, chasser le mensonge, débattre. La libre expression, respectueuse et contradictoire, est l’urgence. Il faut abolir les lois de censures qui font baisser le niveau du débat, et forcent les intelligences amoindries à répéter ou à ne pas contredire – pour simplement pouvoir rester dans la zone de respectabilité – les contes à dormir debout de ceux qui ont le pouvoir. Il faut couper toutes les subventions à ceux qui, avec notre argent, œuvrent à restreindre la liberté de penser.

    Je crois qu’il va falloir que tous les citoyens osent sortir de la zone de confort, et peu à peu, en partant du cercle amical et familial, élargissent les cercles de libre parole. Avec les collègues proches, avec son boulanger ou avec le serveur, avec ses voisins. Sur les réseaux. Le salut ne viendra pas d’en haut : les pires sont ceux que l’on voit faire leur cirque médiatique et politique pour récupérer des postes, tout en nous vomissant dessus, car presque jamais ils ne parlent directement de ce qui est important, en des termes simples, avec le goût de l’intérêt du peuple. Le mensonge, parfois, n’est pas que de la rouerie, mais bien de la perversité.

    Petit test : prenez un sujet, n’importe lequel. Réfléchissez quelques minutes à ce qu’est la situation réelle. Puis comparez avec ce qu’il est autorisé d’en dire socialement, et avec ce que les politiciens et les journalistes racontent. Je ne sais pas le sujet que vous avez choisi, mais je suis presque sûr de pouvoir affirmer la chose suivante : ce qu’il est convenu d’en dire dans un cadre social normal est un affreux ramassis de mensonges, de soumission au wokisme et à des idées délirantes d’extrême-gauche, de relativisme moral, d’approximations visant à cacher la réalité. C’est une sorte de dogme assez rigide, pouvant conduire au tribunal les plus rebelles du verbe, mais bâti sur du sable intellectuel et moral.

    Parlons-en. Le plus possible. Entre nous, souvent. Et essayons de faire bouger les lignes : plus nombreux nous serons, et plus nous serons à nouveau capable, peut-être, de faire un contre-pouvoir. Notre vote n’est plus tout à fait suffisant, il me semble, et j’en ai bien peur. Notre première arme, c’est la vérité.

    Alors, vous avez pris quoi comme sujet pour faire le test ?

  • Citation #167

    Grâce à des méthodes de manipulation mentale toujours plus efficaces, les démocraties changeront de nature ; les anciennes formes désuètes – élections, parlements, cours suprêmes et tout le reste – resteront. La substance sous-jacente sera un nouveau type de totalitarisme non-violent. Tous les noms traditionnels, tous les slogans sacrés resteront exactement ce qu’ils étaient au bon vieux temps. La démocratie et la liberté seront le thème de chaque émission et éditorial […]. Pendant ce temps, l’oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée composée de soldats, de policiers, de fabricants de pensées et de manipulateurs d’esprit dirigeront tranquillement le spectacle comme bon leur semble.

    Aldous Huxley (1894 – 1963) écrivain, romancier et philosophe britannique