Edit : j’ai mis une autre vidéo, car la vidéo originalement postée a été supprimée…
Trouvé sur Point de Bascule. Pat Condell est un comédien anglais qui blogue au moyen de vidéos mises à disposition sur Youtube
Auteur/autrice : BLOmiG
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L'Islam est en guerre contre la liberté
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Quelques mots que j'aurais aimé écrire…
Récapitulons: outre la contribution de 1,1% sur les revenus du capital pour financer le RSA, le gouvernement annonce vouloir, au nom de l’écologie, taxer les assiettes et couverts jetables, les produits gras et salés, les ordures ménagères mises en décharge, mais aussi les automobiles polluantes et tout dernièrement les trop fortes consommations d’électricité. Ce matin, le ministère du développement durable a démenti « catégoriquement » cette dernière éventualité. Matignon aurait cependant donné son feu vert, selon Le Parisien, à l’extension de la formule du bonus-malus aux télévisions, réfrigérateurs, lave-linge, scooters, etc. « Un concours Lépine », a lâché ce matin Bernand Accoyer (UMP), président de l’Assemblée nationale.
Tout cela n’est effectivement pas sérieux. D’autant que Nicolas Sarkozy s’est engagé, durant sa campagne présidentielle, à réduire les prélèvements obligatoires. Que deviennent ses promesses? En fait, si le gouvernement voulait faire la démonstration de son manque d’imagination, il ne s’y prendrait pas autrement que Jean-Louis Borloo, ministre de l’écologie et du développement durable, apparemment satisfait de sa fiscalité écologique. Or, elle n’est qu’un retour aux vieilles recettes de l’économie administrée, qui aurait tort de se croire à nouveau plébiscitée à la seule vue de ce qui se passe aux Etats-Unis. Les Français n’ont pas voté pour subir une politique interventionniste, qu’ils ont justement rejetée. Et si le gouvernement cessait enfin de taxer les Français?
Lu sur le blog d’Ivan Rioufol
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Obscurantisme
José Bové et ses acolytes anti-OGM ont été relaxés par le tribunal de Carcassonne. Ils comparaissaient pour avoir envahi le site du semencier Monsanto le 13 avril dernier, à Trèbes.
Je trouve cette décision de justice choquante, et je ne comprends pas pourquoi et comment la justice peut se comporter de la sorte. Que diriez-vous si des gens forçaient votre porte, et envahissaient votre appartement pour vérifier que vous ne cachez pas de Coca-Cola[1. Je cite l’article de Greenpeace Montpellier datant du 16 avril : « Le porte-parole de Monsanto ne s’est toujours pas excusé pour cette dangereuse fabrication de produits américains. »] ? Et si, de plus, ils étaient jugés innocents ? C’est exactement ce que vient de décider le tribunal de Carcassonne. Il faut croire que l’obscurantisme gagne du terrain (et nous en fait perdre). Le problème, c’est qu’il devient légal…
Le sujet est tellement politisé, polémique, qu’il devient difficile de rappeler la vérité scientifique. Passons. Les risques liés aux OGM sont du même ordre que ceux liés aux émissions de gaz à effets de serre : vraisemblablement extrêmement réduits et, de plus, difficiles à évaluer. Le principe de précaution aidant, les médias — main dans la main avec les alter-mondialistes anti-capitalistes — en font leur choux gras : l’irrationnel fait vendre.
Alors, puisque le juge a tranché, je pense qu’il faut être cohérent, et respecter la loi de mon pays. Je vais donc dès demain aller casser des voitures dans la rue. N’émettent-elles pas du CO2 ? Et peut-être aussi mettre mon poing dans la gueule de tous ces abrutis qui téléphonent et nous pourrissent la tronche avec leur sales portables !
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Citation #94
La presse économique nous a récemment abreuvés de reportages sur la dure vie de ceux qui sont payés un salaire de misère dans les pays anglo-saxons où le salaire minimum est faible ou inexistant. L’erreur implicite (et probablement volontaire) transmise par ces hebdomadaires consiste à comparer ces gens-là avec nos smicards, évidemment beaucoup mieux payés. Or, ceux qui gagneraient aussi peu en l’absence de salaire minimum ne sont pas les smicards. Ceux-là sont assez productifs pour justifier leur emploi au niveau imposé, et ne gagneraient donc pas moins si on supprimait le SMIC. C’est avec nos exclus, victimes de nos interdiction de travailler, qu’il faut comparer les faibles salaires dans les autres pays.Et à qui prétend qu’il vaut mieux ne pas travailler que le faire à ces conditions, on répondra que c’est aux intéressés de choisir. Les législateurs du salaire minimum, en les privant de leur Droit de choisir, leur confisquent leur Droit naturel (et constitutionnel) de travailler. Confisquer à quelqu’un son Droit de travailler, c’est se dire propriétaire de sa capacité de travail. Et se prétendre propriétaire du travail de quelqu’un, c’est de l’esclavagisme.
Si on supprimait le SMIC, par conséquent, la seule conséquence en serait de rendre leurs chances à une foule d’êtres humains en les rétablissant dans leur droit d’entrer à nouveau sur le marché du travail, alors qu’ils en étaient exclus faute de produire assez pour rentabiliser leur embauche par un éventuel employeur.
Dans le climat terrorisant de la « pensée unique » qui domine notre pays, il faut du courage pour réclamer la suppression du salaire minimum. On a tôt fait d’interpréter cette position comme l’expression du désir de favoriser « les patrons » aux dépens des « travailleurs ». Il s’agit, bien au contraire, de rendre leurs chances en rendant leur Droit à ceux qui, c’est le cas de le dire, sont les moins favorisés. C’est pourquoi je considère que réclamer la suppression du salaire minimum est un devoir moral qui s’impose à tous et je souhaite donc que tous hommes de bonne volonté, de tous horizons, s’engagent dans une campagne pour sa suppression.
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Pas besoin d’Etat pour assurer la sécurité des citoyens ?
M.Grunert : Vous êtes un libéral cohérent. Alors, selon vous, peut-on en appeler à l’Etat pour garantir la sécurité des citoyens ? Dans une période de crise internationale, l’intellectuel libéral que vous êtes n’est-il-pas tenté par le pragmatisme ?
Pascal Salin : Il est évident que je ne crois pas que l’Etat soit capable de garantir la sécurité des citoyens. En effet, les hommes de l’Etat sont, par nature irresponsables et l’Etat fait donc toujours moins bien que des personnes privées unies par des liens contractuels. L’idée qu’il faille un Etat pour assurer la sécurité des citoyens est l’un des grands et dangereux mythes de nos sociétés. Nous sortons d’un XXème siècle atroce et qui a été atroce précisément parce que les états se sont faits la guerre. Ce sont les hommes de l’Etat, non les « marchands », qui sont responsables des dizaines de millions de morts qui ont jalonné ce siècle. Est-ce là la sécurité ?
Et nous voyons, à une autre échelle, dans la vie quotidienne, que l’Etat est totalement incapable d’assurer notre sécurité. C’est lui qui a construit les banlieues sinistres et les HLM-poulaillers, c’est lui qui a favorisé une immigration de mauvaise qualité, c’est lui qui est incapable de sévir, c’est lui qui a le monopole d’une justice
peureuse et sans moyens.
Mais il est vrai que la tentation du pragmatisme existe toujours car devant les dangers immédiats, à l’intérieur comme à l’extérieur, on est tenté de se retourner contre la seule force qui existe, à savoir le monopole étatique (qui tient sa position précisément du fait qu’il interdit aux autres de le concurrencer). Nous devons évidemment souhaiter que, dans l’immédiat, l’Etat assure le mieux possible notre sécurité, mais demander en même temps qu’il soit concurrencé dans ces tâches.Trouvé sur le Cercle Hayek, dirigé par Marc Grunert
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Les musulmans modérés
Robert Spencer est un spécialiste de l’islam, et directeur de JihadWatch.org