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  • Les monstres des profondeurs

    J’ai toujours été fasciné par l’extraordinaire diversité de formes de vies que l’on trouve dans la nature. Pour être saisi de cette émotion, deux mondes sont particulièrement évocateurs : les insectes, et les créatures des abysses. Je commence par ceux-là, il y a une forme de magie dans cette étrangeté.

  • Les socialistes

    Je ne sais plus où, ni quand, mais j’avais promis à  Mathieu L. de publier ici un extrait de Bastiat où il parle du socialisme. C’est un petit texte extrait de « La Loi« , écrit en 1850, juste avant sa mort. D’une grande beauté, comme tous les textes de Bastiat que j’ai lus.
    (suite…)

  • En quoi je suis nul

    Décidemment ! Rubin est très en forme question « chaines », en ce moment[1. Bon, ce n’est pas de sa faute, c’est Manuel qui l’a invité, lui-même répondant à  l’invitation de Nicolas].
    Il vient très gentiment de m’inviter à  livrer au grand jour mes lacunes « culturelles », en matière de cinéma, littérature, géographie, mathématique, et cuisine…Je m’y colle avec plaisir : c’est tellement facile de trouver ce qu’on ne sait pas. Il n’y a que l’embarras du choix.

    • Cinéma : bouaf. Moi j’aime surtout les films américains, ce qui suffit déjà  à  me placer dans le camp des gros beaufs. J’aime les polars/thriller, j’aime les comédies romantiques, j’aime la science-fiction, j’aime les séries, j’aime les comédies. Le gros beauf de base, quoi. J’ai quand même vu quelques vieilleries (dont certaines m’ont plu), mais d’une manière générale si vous me parlez de Fritz Lang je vais vous demander s’il s’agit du frère de Jack, et si vous me demandez ce que je pense de Pasolini ou de Fellini, je vous avouerai sans vergogne que leurs films me font chier bailler. Je préfère infiniment Clouzot.
    • Littérature : J’ai failli vomir d’ennui en lisant « Un coeur simple » de Flaubert, et « Le rouge et le noir » a failli finir au feu. Heureusement, j’aime les livres. Je n’ai quasiment aucune connaissance en littérature. J’ai au moins le mérite d’avoir lu quelques classiques français, mais sorti de là …Je ne lis presque plus de romans, donc ça ne va pas s’arranger avec le temps. Le dernier que j’ai lu, c’est un Harlan Coben (Hold Tight – Titre français : « Sans un mot »), ce qui renvoie à  mon niveau général concernant le cinéma.
    • Géographie : Là , la honte commence à  être difficilement soutenable. Je suis une véritable brêle en géographie. C’est un des cours qui m’a – presque – toujours servi d’exutoire à  l’école, et j’ai donc développé, patiemment mais sûrement, de graves lacunes. Enfant, j’avais bien fait, avec mes frangins, un carnet avec les pays et leurs capitales. Outre que j’ai en oublié une bonne partie, j’avais arrêté de le remplir avant d’avoir fini l’Amérique du Sud et l’Afrique, ce qui fait que je serais bien infoutu de placer le Zimbabwe sur une carte.
    • Mathématique : bon, là , du fait de ma formation, j’ai un niveau tout de même bien supérieur à  la moyenne nationale, ce qui n’est pas dur, et je n’en tire aucune fierté. Je ne vais donc pas faire semblant d’être une quiche. Même si j’avoue que je n’ai jamais appris à  me servir des tenseurs, et que je le regrette.
    • Cuisine: je m’efforce d’apprécier les vins que je goute, mais j’avoue ne pas reconnaitre grand-chose. En matière de cuisine, sorti des deux plats que je sais faire, c’est le néant absolu. Mais j’aime prendre le temps de cuisiner. C’est-à -dire jamais, en fait.

    Je passe maintenant le relais aux victimes suivantes : Flaconhill Falconhill, Monsieur Pingouin et Aymeric. Chacun son tour, de se foutre la honte !


  • Quand la république se voile la face

    C’est chez Rioufol que j’en ai entendu parler. Et puis, j’ai vu chez Bivouac-ID que la vidéo était disponible. Alors, je me suis dit que c’était bien de la partager avec vous. Il s’agit d’une émission passée sur Arte, et parlant assez librement du problème posé par l’Islam en France.

  • DLL – La persistance du constructivisme dans la pensée courante

    Chapitre premier : « Raison et évolution »

    La persistance du constructivisme dans la pensée courante

    Le rejet des récits par lesquels la religion expliquait la source et les fondements de la validité des règles traditionnelles de la morale et du droit conduisait au rejet de ces règles mêmes, dans la mesure où elles ne pouvaient être justifiées rationnellement. C’est à  leur succès dans cette « libération » de l’esprit humain que nombre de penseurs célèbres de cette époque doivent leur réputation.

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